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Josiane et Claudine - 10 juin 2022
Madame et Monsieur Bleu
La promise est arrivée !
Josiane - 26 avril 2022
M. Bleu attendant sa promise...
Mireille - 21 avril 2022
NDLR : Collage transmis le 21/4/22 mais réalisé antérieurement !
Mireille - 21 avril 2022
NDLR : Collage transmis le 21/4/22 mais réalisé antérieurement !
Annette - 21 avril 2022
NDLR : Collage transmis le 21/4/22 mais réalisé antérieurement !
Tentative de ciel selon Magritte
Claudine - 31 décembre 2021
La pêche aux mots
L'écume a tout englouti
Le masque n'a pas résisté
Les mots ne se sont pas noyés
Je les ai tous repêchés.
Il y en avait 2022 ! Incroyable non ?
Joëlle - 11 avril 2021
Et tralala !
Annette - 11 avril 2021
Confinement 3
Il y a quelque chose qui crie
qui crie tant
dans nos vies
Quelque chose qui n’est pas là
et qui troue nos vies
d’une peine sans nom
d’un appel si vieux
qu’il est comme toutes les
peines
du monde
d’un appel si chaud
qu’il est comme un amour
sans fond
pour toutes ces vies
ces vies perdues.
SATPREM (1923 – 2007)
extrait de La Chanson des Âges perdus
in « Un feu au cœur du vent »
(Trésor de la poésie indienne)
Geneviève B. - Lundi 1er mars 2021
Petit soleil d'argent
Tussilage jaune éclatant
Petit collage marrant
Fait par Gina et sa grand-maman
Les vacances c'est le bon temps
Voilà venir le printemps.
Geneviève S. - Mardi 16 février 2021
Écrire, c’est changer de temps et de regard, entrer dans d’autres vêtements, respirer autrement, faire bouger les choses et le monde.
Écrire, c’est prendre des risques et se libérer, s’accoucher et donner vie, être à nu et se cacher derrière les mots, se nourrir et partager, se consumer et créer...
Geneviève B. - Samedi 13 février 2021
Va mon ours brun
Dans la neige si pure
mon bel Orsatus
Le bout du tunnel
L'espoir de le voir enfin
Chouette, le voilà !
Oh le grand homme
La fille et la France
Disent su-avelo !
Gouttes, gouttes d'eau
Sur le toit de la serre
Font coucou au chou.
La foi d'Ismaël
Polynésie, sagesse
Nage océan.
Marie-France - Lundi 8 février 2021
J’ai fait ce collage pendant le premier confinement.
J’ai réuni des femmes que j’aime et que je ne connais pas. Leurs sourires m’ont fait du bien.
Et encore aujourd’hui je les garde. Je les regarde. Si je suis triste, elles me consolent. Quand je suis gaie, je partage avec elles ma joie.
Ce sont mes confidentes, mes inconnues du bout du monde.
Je vous les offre en partage. Vous pouvez tout leur dire. Elles ne trahissent pas.
Babeth - Dimanche 7 février
Munyal defan hayre.
"La patience cuit la pierre."
Proverbe peul
Mary - Vendredi 5 février 2021
Parfois, les Dieux de l'adversité se lassent et font montre de miséricorde.
Ma vie / Charlie Chaplin
Josiane - Vendredi 5 février 2021
Fantasmes
Mireille - Jeudi 4 février 2021
Marie-France - Mardi 26 janvier 2021
Marque-pages
Trois p'tites plumes
marquent la page
de leurs écrits
à la plume d'oie
à la plume d'or
la plume d'orateur.
Annette - Dimanche 24 janvier 2021
Christine - Samedi 23 janvier 2021
Saisons
O saisons, ô châteaux
Quelle âme est sans défauts ?
A. Rimbaud
Claudine - mercredi 20 janvier 2021
Note : De la maquette (ci-dessus) à l'original (ci-dessous), deux propositions pour un même texte:
L'intrus partira
sur les ailes d'un vent propice
la vague l'engloutira
l'offrant aux chants et sanglots des sirènes complices
le silence régnera
rien n'est plus urgent que l'essentiel
nous réinventerons le monde
Mireille - 14 janvier 2021
Note : Les citations sont extraites du Noë de J. Giono. Pour ceux et celles qui auraient du mal à les lire, les voici à nouveau :
" C'était une aube admirable, à peine un peu citronnée de froid."
"Au-dessus du préau de la prison s'écartaient de très beaux nuages verts qui avaient la forme d'une immense aile d'ange."
Josiane - 14 janvier 2021
Une évocation du Dormeur du val
- « Rimbaud !! Ne m’en veux pas » !
Je le vois bien, ce petit val ne mousse pas de rayons. Il ne dort pas les pieds dans les glaïeuls, d’abord il n’y a pas de glaïeuls. Et puis, tu le vois sourire comme un enfant ? Non ! Son visage est couvert par cette fleur blanche inquiétante. Il a plus que deux trous rouges à sa poitrine, il est en sang. Et ces grosses fourmis géantes qui courent sur ses bras, elles viennent du tronc blanc de cet arbre couronné.
Mais comment est-on arrivé là ???
Collage et commentaire de Josiane
Annette - 13 janvier 2021
D’API D’API ROUGE
C’est à la halle
Que je m’installe
C’est à Paris
Que j’vends mes fruits
Pomme de reinette et pomme d’api
D’api d’api rouge
Pomme de reinette et pomme d’api
D’api d’api gris